Bien sûr on l’a beaucoup entendu Jean D’ormesson juste après son décès. Mais cette voix, cette diction inimitable, cette intelligence joviale et malicieuse , je les ai retrouvées intactes dans mes souvenirs et dans nos archives. En 1981, Jacques Bourlez le mettait à la question autour de son livre « Dieu sa vie son œuvre ». Jean d’Ormesson y disait son désir d’écrire un roman populaire sur une tentative métaphysique. 20 ans plus tard, Martine Cornil le recevait pour son livre « Voyez comme on danse ». Dans les deux entretiens il affirmait la nécessité du bonheur et rien que pour cela, merci Jean d’Ormesson.
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