On poursuit notre rencontre avec l’écrivain Pierre Mertens qui évoque ses émotions musicales de Bach à Schubert inséparable pour lui du film de Robert Bresson « Au hasard Balthazar ». Pierre Mertens fait parler dans ses premiers livres l’enfant confiant qui, dans « Les éblouissements », peut aussi aveugler. Dans cette rencontre à Arsonic, il évoque cent vies, les siennes profond et léger comme si le cortège de Scarlatti entendu dans l’enfance faisait à nouveau retentir son appel.
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