Au Centre culturel de St-Gilles, le Jacques Franck, se tient jusqu'au 27 octobre une série d'installations regroupées sous le titre : « Glauqueland ou la matière urbaine transfigurée ». Thierry Genicot est allé rencontrer plusieurs de ces artistes pour les inviter à décrire leur démarche. Il s'avère que le terme « glauque » au fil du temps, s'est mué d'une valeur descriptive et positive en un adjectif à connotation négative. En est-il de même pour le monde où ces artistes évoluent et qu'ils décrivent aujourd'hui ?
Le Monde Invisible est soutenu par le Service des Arts plastiques de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
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