Considéré comme l'un des chefs de file de l'architecture post-moderne, l’Espagnol Ricardo Bofill vient de s’éteindre à Barcelone, le 14 janvier dernier, à l’âge de 82 ans. L’occasion de parcourir sa vaste carrière, dans des archives de Michèle Cédric et d’André François. Barcelone est pour lui une succession de visages, car une façade est un visage pour cet homme du regard. Il insiste sur l’aspect communautaire d’un bâtiment, et c’est son engagement social qui remonte alors à la surface quand il veut voir dans l’architecture le levain d’un nouveau monde. Un montage d’Emilie Mayon.
Considéré comme l'un des chefs de file de l'architecture post-moderne, l’Espagnol Ricardo Bofill vient de s’éteindre à Barcelone, le 14 janvier dernier, à l’âge de 82 ans. L’occasion de parcourir sa vaste carrière, dans des archives de Michèle Cédric et d’André François. Barcelone est pour lui une succession de visages, car une façade est un visage pour cet homme du regard. Il insiste sur l’aspect communautaire d’un bâtiment, et c’est son engagement social qui remonte alors à la surface quand il veut voir dans l’architecture le levain d’un nouveau monde. Un montage d’Emilie Mayon.