Sylvestre Naour retrace le portrait de quelques enfants qui ont grandi. Ils ont porté jadis le nom d’infamie de « bâtard ». Il les nomme les enfants du crépuscule. Car c’est au crépuscule qu’ils étaient baptisés après les vêpres et sans les cloches. Annick le Douguet a consacré sa thèse baptisée "Violence au village" à tous ces déchirements, insistant sur le rôle de l'église.Pour ce documentaire, Sylvestre Naour a retrouvé en Basse Cornouaille quelques-uns de ces « enfants du crépuscule ». Annick le Douguet a consacré sa thèse baptisée "Violence au village" à tous ces déchirements, insistant sur le rôle de l'église. Pour ce documentaire, Sylvstre Naour a retrouvé quelques uns de ces enfants en Basse Cornouaille. Avec les témoignages de : Joseph, Liliane, Simone, JeanineEt avec Annick Le Douguet, ethnologue Une production pour Sur les docks d’Irène Omelianenko à France-Culture
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